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Pourquoi on court après le bonheur alors qu’il est souvent sous notre nez

Photo du rédacteur: Jo SainzJo Sainz


Pourquoi on court après le bonheur alors qu’il est souvent sous notre nez ?

Introduction

Un jour, en coaching, un client m’a sorti : "Je serai enfin heureux quand j’aurai atteint mon objectif." Ça m’a fait sourire, parce qu’en creusant un peu, on s’est rendu compte qu’il passait à côté de plein de petits moments qui auraient pu le rendre heureux... là, tout de suite. Et ça, c’est pas chelou ? Pourquoi on complique autant le bonheur alors qu’il est souvent juste sous nos yeux ?

Pourquoi on se prend la tête avec le bonheur ?

Le bonheur, on le voit souvent comme un truc à aller chercher loin, une sorte de Graal. On se dit qu’il faut une maison de rêve, un boulot parfait ou une silhouette digne d’Instagram pour y accéder. Sauf qu’en vrai :

  • On s’habitue à tout : Une fois qu’on obtient ce qu’on veut, notre cerveau s’y fait vite, et hop, on est déjà en train de viser autre chose.

  • La pression sociale : Depuis qu’on est môme, on nous bassine avec l’idée que pour être heureux, il faut cocher plein de cases. Mais en vrai, c’est souvent du vent.

Résultat, on passe à côté du bonheur qui, lui, nous attend tranquillement dans l’instant présent.

La fausse promesse du "toujours plus"

Combien de fois tu t’es dit : "Quand j’aurai X, je serai heureux" ? Genre, un salaire plus gros, des abdos en béton ou une voiture qui claque. Et une fois que tu l’as ? Bah, tu veux encore autre chose. Franchement, c’est pas un peu une arnaque ?

Exemple concret : Pense à ton café de ce matin. Tu l’as bu en vitesse, peut-être même sans le savourer, en pensant déjà à ta journée. Pourtant, ce moment aurait pu être un petit kiff, si t’avais pris deux secondes pour en profiter.

Et si le bonheur, c’était maintenant ?

Pour arrêter de courir dans tous les sens, il suffit parfois de revenir à des trucs tout simples. Voici quelques pistes :

  1. Kiffer les petites choses : Note chaque jour 3 trucs qui t’ont fait sourire. Même un bon croissant, ça compte !

  2. Arrêter de vouloir tout contrôler : Tout n’a pas besoin d’être parfait pour que tu sois heureux.

  3. Ralentir : Respire, regarde autour de toi, et savoure ce que t’as sous la main.

Conclusion

Le bonheur, c’est pas une destination. C’est une série de petits moments où tu décides de lever le pied et d’arrêter de te poser mille questions. La prochaine fois que tu te dis "Quand j’aurai ça, je serai heureux", pose-toi plutôt cette question : "Et si je pouvais être heureux, là, maintenant ?"


Challenge du jour : Trouve un truc simple qui te fait sourire. Un rayon de soleil, une chanson cool, ou même une blague pourrie.

Et profite. Ton coach et ami Jo



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